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Enregistrements sonores année 2014-2015: voir audio/audio.html
Vidéos-son ambiances à partir de 2017.


Solutions imagineables pour garder possible le survol des cirques sans nuisances majeures.

Avant de s'orienter là, que faire "sans réduire l'activité actuelle des opérateurs"? Que faire qui ne gêne personne tout en apportant une réelle amélioration? Que faire pour qu'on puisse au moins noter "les jours en vert"

Cette nuisance est légale, les opérateurs n'ont pas de raison de faire des efforts, puisqu'ils sont dans leur droits, mis à part les infractions qui ne sont que négligeables puisque occasionelles: ils ont toutes les bonnes raison de se fâcher, car ils ont tout à perdre dans cette histoire: contraintes, risque de réduction, et une image marketing qui se passerait bien des couacs dus à la révélation publique de leur prouts dans des sites touristiques où vivent "des râleurs"...

Il n'est pas question de ne pas continuer à révéler l'impact qu'ont les survols: c'est inscrit dans le paysage, cela modifie considérablement le ressenti des lieux,  et il faut le montrer, afin que TOUS (futurs touristes, habitants, compagnies), soient informés des conséquences et deviennent responsables dans leurs choix.

La confidentialité? oui pour des travaux avec des essais, des mesures lors des essais, les noms des compagnies et des pilotes participant à ces essais..

Mais ce qui découle des conséquences sur le paysage au quotidien restera divulgué sans corrélation avec cet éventuel travail, tout comme on le fait pour des évènements météo: c'est un paysage dans un espace public, dans sa composante acoustique, qu'on a le droit de photographier et de filmer. Si les améliorations suivent les travaux de tentative de réduction, le problème de mauvaise image causée par la divulgation des prouts se réglera faute de négatif à divulguer.



Jean Thevenet a longuement tenté de lancer l'alerte en novembre 2014 et de rencontrer des élus. Ceux de Cilaos ont clairement affiché le déni: ils n'entendent pas, ça n'existe pas, et ça gêne personne.
Jusqu'en 2017 (cela pourrait changer), c'était le dialogue de sourd, les points de ruptures rendant intolérable la situation restant inchangés.. La souffrance de subir la confiscation de l'environnement extérieur le matin sans signe d'amélioration, au contraire une dégradation, a durci l'échange.

L'action de s'occuper de ce problème est suivi d'un laisser tombé général de la population car "quelqu'un s'en occupe"

En attendant simplement que ça s'améliore "tout seul", en évitant ainsi d'afficher une position, les gens de CILAOS cautionnent cette nuisance.
C'est de même quand ils subissent une forte nuisance de voisinage:
Dans les deux cas une partie avouent, en intimité seulement de souffrir des nuisances sonores, du bruit, du stress, parfois au point de prendre des médiccaments...
Beaucoup n'analyse pas leur souffrance, mêlée à plein d'autre problèmes..

En général ils prennent sur eux pour éviter le pire qu'ils craignent: l'angoisse de perte de protection de toute figure de pouvoir (le maire), ou de se fâcher avec des communeauté: les "50 personnes" qui entourent une personne avec qui on se fâcherait rien qu'en exposant des idées différentes des siennes. Comme c'est compliqué, que l'on ne sait pas ce que les gens pensent vraiment, on n'ose rien dire.


20141103_article-quotidien-actu-reunion
La pétition: (version papier 1100 signature en un mois, 2h/jour  sur le sentier de cascade Bras Rouge): le sous préfet de l'époque a finalement "décidé ne ne pas la prendre en compte,
compte tenu que les signataires auraient été influencés ou manipulé" par "une seule personne"

Ce qui était demandé: plages horaires, groupement des passages, stratégies de vol plané... c'était trop limitant, "limiter c'est interdire"

Donc résultat = RIEN!


 
Le résultat de tout cela est une situation de conflit 
Ça aurait été mieux autrement... tout espoir n'est peut être pas perdu.