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Enregistrements sonores année 2014-2015: voir audio/audio.html
notes de travail,, BILAN, ACTION DE SENSIBILISATION.parlez en autour de vous!
NIVEAUX DE GÊNE

RESTONS VIGILANTS...
observations au jour le jour



Solutions imaginées par Jean Thevenet pour garder possible le tourisme aérien sur CILAOS.

Cette proposition personnelle est issue des difficulté cumulées lors des discussion sur cette nuisance sonore, avec ceux qui ne souhaitent pas l'interdiction pure et simple des survols touristiques des cirques, pitons et remparts.

"il ne faut pas interdire mais proposer des solutions". Alors voilà ce qui me semble le plus conciliable, après l'étude des niveaux de gêne: il ne faudrait jamais atteinte une gêne qui aille au delà du niveau 3 (gêne significative --3-- constat, mais qui ne dure pas), au dessus, on est dans la privation d'une partie de la matinée (on ne peut plus sortir, on doit fermer les fenêtres, on doit éviter de se trouver sur les lieux, si pour une raison ou une autre on craint des nuisances sonores maintenues et répétées).

Cette solution est "un double discours" qui a été vivement critiqué par d'autres membre de l'association, car l'idéal demandé est qu'enfin "on nous foute la paix", et qu'on préserve Cilaos de telles nuisances sonores, ET AVEC CETTE SOLUTION il y aura encore, un survol intensif, organisé pour minimiser la nuisance en 3 fois 5mn de bruit, peut être 4 dans certaines condition, 4 fois "l'apocalypse now"...

Ce qui est proposé ici est de pouvoir continuer à vivre à CILAOS malgré le maintient d'une prestation aérienne conséquente correspondante au passage quotidien de jusqu'à 20 hélicoptères par jour mais concentrés sur la fenêtre de vol touristique (ciel dégagé, matin).

Si j'enviseage personellement cette possibilité c'est avec la conscience que en fait, les gens NE VEULENT PAS que cette activité soit interdite et proposé une solution applicable de suite avec la flotte qui est présente sur place...

Les hélicoptères n'étant pas des soucoupes volantes, il faut bien trouver un moyen de réduire leur impact. Une nuisance prévisible et "compactée" dans le temps serait au moins un peu plus gérable et ce compromis de groupements de passage associé à un réaménagement des choix de prestations pourrait rendre la possibilité de sortir à l'extérieur, malgré qu'il passe encore 15 à 20 hélicoptères chaque matin..

Il serait à peu près vivable de réduire à 15-20mn tout au plus le cumul de nuisances sonores d'une matinée, en la compactant sur 3 à 4 groupes de 5 hélicoptères passant ensemble à 5 appareils par groupe, lesquels groupes sont espacés d'une heure.
Il s'agit de ne pas dépasser des "seuils de l'insupportable".

- trop souvent: pas plus de 3 à 4 fois
- trop bruyant: pas plus de 80dB
- trop longtemps à chaque fois: pas plus que 5mn d'affilée
- sans trop de répéition: 1 heure d'espacement

Cela est COMPATIBLE avec la coordination entres les compagnies, dans le cadre d'un tour de l'île 3 cirques+volcan, de s'organiser afin de voler par paquet de 5..

On aurait ainsi qu'un seul "gros passage" par heure prenant au plus (il est nécéssaire de prévoir cela) 4mn de passage donc 5mn de bruit par résonnance résiduelle... et en dehors de ces 3 à 4 groupes de 5mn au plus,  une matinée calme.

Rappelons que le problème est plus l'occupation sonore que l'intensité sonore. Le problème est aussi que le bruit subi n'est pas suivi de calmes assez longs pour récupérer... un hélicoptère seul ou en groupe casse l'ambiance pareillement, alors foutu pour foutu, il ne reste que la stratégie de RÉDUIRE LA DURÉE CUMULÉE en les groupant ensemble.

ON NE DOIT PAS DÉPASSER LE NIVEAU 3 ET SE CANTONNER À UNE PLAGE HORAIRE 7H-10H (3 départs). dans ce cas, déjà notez la tolérance car ça se répartit finalement sur 3h au lieu de 2h dépasse même la tranche horaire 7 à 9h30!

NIVEAUX DE GÊNE EXPLICATION DU PROTOCOLE
1, 2, 3, 4, 5,
 niveau: non noté non évalué, en noir
--1-- constat "calme réellement" (en bleu),
--2-- constat "pas de quoi se plaindre"(en vert..),
--3-- constat "un peu de gêne", gâche déjà gravement le ressenti: LITIGIEUX: érode déjà la capacité THÉRAPEUTIQUE DE CILAOS "LIEU OÙ L'ON SE SENT EN SÉCURITÉ" --> SEUIL À NE PAS DÉPASSER!!!
--4-- constat "PROBLÈME: prive de l'extérieur un moment, car trop gênant durant un temps" Cela gâche toute expérience de nuitée à Cilaos, la journée commençant par "L'Apocalypse Now". Il reste possible de s'organiser: il "suffit" d'éviter de se trouver sur les lieux le matin et ne venir que pour la journée, après 9h30, ou avoir un "bunker" et fermer les fenêtres.. NON ACCEPTABLE détruit l'intérêt des nuités à CILAOS "station de montagne et de Bien-être.
--5-- constat insupportable et condamnant la matinée" privant d'une GRANDE  partie de la journée (plus de 2h), si on attend d'avoir la paix, la matinée est BOUFFÉE.NON ACCEPTABLE détruit l'intérêt de CILAOS "la capitale de la randonnée de l'océan indien".
--6-- constat condamnant la matinée ET L'APRÈS MIDI: quand en plus... des passages répétés ont troublé l'après midi, LA JOURNÉE EST FOUTUE
le niveau 6 peut être donné si il y a eu moins de 2 heures disponibles (journée foutue) entre la fin de la nuisance et la dégradation météo (pluie, brouillard, temps trop incertain pour profiter de l'extérieur

Le pire nuisance sonore, constante, est provoquée par des dizaines de passages à quelques minute d'intervalles d'hélicoptères isolés qui sont toujours trop bruyants et qui se relayent "pour casser l'ambiance". Cette configuration "anarchique", même cadrée dans une plage horaire, est celle qui abouti au sacrifice de la matinée durant un temps non négligeable, et oblige à renoncer à des bivouac, des randonnée de grand matin car oblige à se calfeutrer chez soi ou dans une case en dur, assez isolé... À moins que de subir en pleine nature 2h de nuisances sonores forte, ne gêne pas. Or, si on va s'isoler ) la montagne, si on va camper, si on va en gite, ce n'est pas pour subir cela!

Cette situation serait évité pour le même nombre d'aéronefs par la stratégie des groupements de passages et il passerait pourtant dans l'absolu, pourtant 15 hélicoptères par matin....

 si on n'organise pas convenablement ces "formation" on obtient pour toute fréquence de vol contentant la demande touristique actuelle, le niveau de nuisance supérieur "sacrifice du début de matinée", le même nombre d'aéronefs étalant leur nuisance sonore dans le temps, le bruit au lieu d'être bref et ponctuel devient continu..


proposition

sachant cela:

DIFFICULTÉ: on ne peut pas rester en formation à l'endroit "clef" qui est le "trou de fer", le "clou du spectacle"... ET SI ON VENDAIT CELA À PART?!
Le "manque a gagner" du à une limitation du nombre de passages pour le grand tour serait rattrapée par une activité "baptème de l'air" plus court mais plus "sensation", non limité.

l'idée avancée ici est qu'on pourrait concentrer les prestations courtes UNIQUEMENT sur des zones non habités "sacrifiées" au tourisme aérien "pour sauver le reste", d'autoriser seulement à ces endroits une activité intense non limitée, plutôt que de multiplier les mouvements, manoeuvres et passages sur les zones les plus fréquentés et habités, ainsi, reconvertir certaines prestations et associer à ces prestations différentes, des hélisurfaces de départ adaptées (il ne s'agit pas de en effet faire 100 aller retour au trou de fer chaque matin en survolant des villages ou des cirques!!!)

LE PIRE À ÉVITER est tout ce qui ressemblerait à un baptème de l'air du genre "découverte de Cilaos par les airs en 10mn", c'est une prestation courte, donc augmentation du nombre de passages combinés à des trajectoires plus impactantes, augmentation des passages isolés, des fréquences AU DESSUS D'UNE ZONE HABITÉE DANS CAISSE DE RÉSONNANCE.


STRATÉGIE au prestations de passages (grand tour de l'île en une heure, concerne les 3 cirques et le volcan).

- RÉDUIRE LE NIVEAU DE VIBRATIONS SUR LES ZONES HABITÉES.


Il faudrait que les trajectoires des hélicoptères ne permettent plus que l'avant de l'hélicoptère soit orienté vers les points suivant: CILAOS, et le MUR VERTICAL du Chien (exemple, la fameuse trajectoire Sommet de l'entre-deux vers Salazes en ligne droite, parmi les plus impactantes).

Cela serait possible en traversant Cilaos avec un très large virage et une vitesse réduite de 10% environ, de sorte de présenter le coté des hélicoptères à la principale zone habitée, en prenant CILAOS-CENTRE-VILLE comme le "moyeu" de ce virage..

il faut pour imaginer, concevoir cette trajectoire, qu'on a des phares très puissants avec un angle d'ouverture comparables au codes d'une voiture, et qu'on veut éviter d'éclairer Cilaos-ville et éviter aussi le "museau du chien".
On réduirait de 10 à 20 décibels environ les infrasons, et sons graves qui réveillent les enfants en bas âge et franchissent toute les isolations phoniques.
Cette trajectoire imposerait de rentrer dans le cirque avec un cap sud-ouest pour en ressortir avec un cap nord, elle resterait fortement impactante sur les Salazes et le Taïbit, et aussi on devrait s'approcher pour préparer cette traversée du Rond des Chevrons où sont les pétrels noirs.
On pourrait encore s'en approcher en entrant plus par le sud, par le Dimitile. On remarque que appliquer cette trajectoire augmente l'impact en dehors du cirque et n'est pas chose facile, en plus cela augmente un peu la durée de passage.

Il ne faudrait pas qu'on descende oo qu'on remonte, que l'altitude aqcuise pour revenir du volcan soit conservée, et passer bien plus haut que la trajectoire actuelle qui fait frôler les 3 salazes, sinon on dissipe de l'énergie en descente, et cette énergie devient de lourdes vibrations surtout dégagée vers l'avant de l'appareil.

Il faudrait aussi éviter les trajectoire dans l'autre sens, venant de Mafate et direction Cilaos-St-Pierre, car plus généralement effectuées en descente, on oriente alors systématiquement un fort faisceau de vibrations d'abord sur Cilaos et ensuite dans les remparts qui ferment Cilaos au sud, ou à l'Est, et les nuisances sont toujours plus fortes dans ce sens là.

Notez bien que le virage doit être extrêmement large, d'un rayon de plus de 3km, un virage serré provoque du flapping, et est particulièrement gênant avec les B4 qui sont des hélicoptère "détestables" à manoeuvrer ainsi...

- ÉVITER LES PRESTATIONS MAXI NUISANCE du genre "découverte de Cilaos en 10mn", "les deux cirques" et de toute façon: ABOLIR Toute prestation courte faisant MOINS D'UNE HEURE qu'on devrait éviter pour tout survol de zone habitées car on multiplie les mouvements et les nuisances par rapport à l'activité économique crée...

Pour la même entrée d'argent on multiplie on concentre la gêne, et la prestation "Cilaos en 10-15mn" entraine un cumul de maximisation de nuisance (une approche+ un virage trop serré+ un éloignement anormalement bruyant, associé à des changements rapide d'altitude donc plus de bruit). L'impact de la prestation "découverte Cilaos en 15mn", est dans l'absolu d'un impact triple à un passage ordinaire au dessus de CILAOS, alors qu'elle doit être, pour créer la même richesse qu'une heure de vol, répétée 4 fois, ce qui fait, localement un impact plus que décuple pour une même entrée d'argent: cela dégrade le rapport nuisance/rentabilité à un niveau records, au dessus de la caisse de résonnance la plus peuplée et visitée de la Réunion...

Ces prestations courtes devraient être organisées pour les découvertes d'une zone peu randonnée, et justement non accessibles ni à pieds ni en voiture tel le trou de fer ET NON HABITÉES, et avec des hélisurfaces dédiés spécialement à ces baptèmes de l'air. Quitte à sacrifier une zone au tourisme aérien et de s'autoriser un traffic qui pourrait être des dizaines de fois plus dense que le seuil de gêne d'une zone habitée (tel 30 survols/heure)


- RÉDUIRE L'OCCUPATION TEMPORELLE et n'autoriser le survol des 3 cirques + le volcan que dans le cas d'une prestation de 1 heure... proscrire tout vol de moins de 1h des que la prestation CONCERNE DES LIEUX HABITÉS. On devrait considérer que le survol d'une caisse de résonnance est encore plus grave et plus gênant que le survol d'une zone à proximité d'une aire de décollage et réduire la fréquence à 1 par heure par appareil et en tout 5mn/heure pour tous les appareils en groupe..

On devrait toujours grouper les hélicoptères par escadrilles, au moins les rapprocher à 15 secondes de vol l'un et l'autre, de sorte d'en faire passer 5 environ en générant un niveau de nuisances équivalent à celles d'un seul passage.

On peut réduire le bruit au point que 5 hélicoptère ne fassent pas plus de bruit qu'un seul actuellement en combinant une vitesse un peu moins rapide (-10%, soit 30km/h de moins), un vol en palier sans changer d'altitude, et faire un large virage (rayon virage >3km) pour ne pas pointer le nez vers Cilaos-ville. 5 hélicoptères ensemble respectant ces conditions font pas plus de bruit qu'un seul, et ainsi groupés, le temps pris de passage pour tous n'est que de 4mn (5mn de bruit puis 55 minute de calme) au lieu de 15mn étalée dans 1h donnant impression de répétitions en continu (dans ce cas 3mn de bruit, puis moins de 10mn avant que ça recommence pour 3 nouvelles minutes) . Pour rappel, la sucession à une fréquence de 5 par heure ou plus est associée à des moments de calmes alors inexploitable car trop courts entre les passages et le passage des hélicoptères les uns après les autres "à quelques minutes d'intervalle" représentent dans la configuration 2 à 3 heures de nuisances sonores quasi continues qui interdisent purement et simplement se se sentir en paix, au calme, des qu'on se trouve à l'extérieur d'un bunker...


Les passages par escadrilles espacés de 1h, éviteraient la sensation de répétition. Si on organisait ainsi 3 groupe par matin, on ferait passer un maximum (quotas) de 15 hélicoptères, avec un espacement de une heure pile entre les groupes de 5, et une durée totale de bruit cumulée de 12mn à 15mn en 3 fois 4 à 5mn, la gêne ne serait qu'occasionelle et ainsi peu envahissante, la randonnée, même le matin ne serait pas condamnée, car dans ces conditions là, "ça ne dure pas" et "ce n'est pas trop de fois"... Il s'avère que 3 fois en une matinée est tout de même la limite, une quatrième escarille, si on s'est tapé 3 dérangement de 5mn à chaque heure, ça commencerait "à faire chier"... mais bien moins que la situation actuelle!!!

- RENDRE LES AVIONS ET ULM 3 AXES SILENCIEUX
Tout simplement organiser les survols des cirques possible, mais que dans la mesure où le cirque, espace résonnateur, puisse être traversé en trajectoire descentante sans mettre de puissance dans le moteur, le moteur au ralenti seulement. Dans le contexte où mis à part 5mn par heure, tout est calme, il convient de ne pas troubler ce calme profond où le chant des oiseaux porte à... un kilomètre!
Les avions et ULM peuvent respecter ce silence et ainsi se montrer quasiment "furtifs", alors que si ils traversent le cirque en montée, ils génèrent quasiment autant de nuisance, voir plus pour certains avions F-ODLS et F-GNLY l'ayant démontré, que des hélicoptères alors que c'est pour transporter moins de personnes (rapport nuisance/rentabilité catastrophique). Il n'y a aucun inconvénient au survol de Cilaos si c'est silencieux et cela est possible pour les avions et ULM 3 axes qui peuvent planer. EN conséquence, les prestations devraient être organisées, conçues pour que les cirques ne soit traversée qu'en phase de descente et tout devrait être fait pour qu'il ne soit plus jamais observé de ces passages longs et bruyant d'un petit avion "qui gâche tout alors que c'était enfin calme".

- FIXER DES QUOTAS ET DES TRANCHES HORAIRES DE PASSAGE

Pour ne pas sacrifier la matinée, surtout au delà de 9h30, on ne devrait jamais rencontrer plus qu'une gêne occasionelle, surtout après avoir "attendu que ça passe". Il faudrait qu'un randonneur qui commence sa randonnée encore pas trop tard ne subisse pas plus que 5mn de bruit remarquable, seulement la dernière escadrille d'hélico de 10h par exemple (dans une hypothèse de 3 par matin, voir 4 à condition que 4 fois ne soit que occasionnel)
En dehors de 3 groupes de passages cumulés (1 par heure, avec le dernier à 09h30) on ne devrait plus avoir dans la suite de la journée, que les vols techniques (de travaux, de secours, d'élingue). Même pour le Dash 8 on devrait éviter les vols d'entraînements après 09h30.
EXEMPLES.
HIVER 3 GROUPES VERS 7H30, 8H30, 9H30 Le dernier... et en cas de prestations à des croisiérites et seulement 1 fois par semaine en sus, un groupe supplémentaire à 10h30.
ÉTÉ tout une heure plus tôt, 6h30 7h30 8h30 avec un jour par semaine un groupe en sus à 9h30.
Ces "quotas" correspondent à un maximum... Si on "en fait trop", tout le compromis saute, on dépasse le seuil du "trop chiant" avec "mauvaise image" d'un tourisme nuisible car mal géré. Nous avons donc là la notion de "quotas à ne pas dépasser".

- DÉPLACER LES PRESTATIONS IMPACTANTES VERS D'AUTRES OFFRES MOINS IMPACTANTES.
Même la stratégie de groupement des passages est limitée, au delà de 3 fois 5 hélicoptères on aura une gêne conséquente à même de priver de la quiétude des lieux et tolérer 3 fois 4 à 5mn de bruit impressionnant et tout de même intense est déjà un maximum de tolérance.
Les prestations 3 cirques + le volcan ne devraient plus comporter le trou de fer pour pouvoir fonctionner ainsi en formation et n'imposer, en tout et pour tout que 12mn de nuisance sonores d'hélicoptère aux 3 cirques, volcan et autres zones habités remarquables comme la Plaine des Palmiste (également impactée à l'excès), et le haut Tampon.

EN revanche, le Trou de fer pourrait être "sacrifié" à un tourisme aérien débridé où l'on ne se préoccupe plus de la gêne oaccsionnée en bas puisqu'il n'y a personne, avec une hélisurface installée en bas de la gorge d'accès et on y cumulerait des baptèmes à grande fréquence. Le trou de Fer ainsi sacrifié ne serait pas une perte pour des habitants (personne n'y habite), serait une perte réduite pour la biodiversité (concentrer la nuisance sur le trou de fer rendrait tellement plus de surface de forêts aux chants d'oiseaux) et mis à part la plateforme d'observation accessible à pieds via Forêt de Bélouve, on n'impacterait pas non plus un grand nombre de randonneurs, seulement quelques canyonneurs moins sensibles au bruit car la tête dans le casque sous des cascades. Le préjudice de concentrer l'activité hélico-prestations-courte et le plus spectaculaire sur le Trou de Fer est moindre que d'ajouter au classique Tour de l'île "3 cirques et volcan" ces multiples prestations courtes qui concentre des nuisances en zone de séjour, de promenade, et habitées. Concentrer les prestations courtes ailleurs qu'en zone habité, et pratiquement à ce seul endroit éviterait aussi la cause d'augmentation des nuisances de l'après 2013: la dispersion des trajectoire donc l'installation d'une continuité de la nuisance sonore qui provoque une augmentation des mouvements, une augmentation du bruit et du nombre de passages à entrée d'argent équivalente, qui est donc encore plus inadmissible sur des zones aussi vulnérables que CILAOS ou MAFATE.

- AUTRES OFFRES. L'hélicoptère EC 130 B4 gagnerait à être proscrit dans les zones turbulentes, pour être "recyclé" dans toute prestation de basse altitude et courte distance, comme hélico taxi, de transport pour des hôtels de luxe dans les bas, voir le survol touristique de certains litoraux, à condition de rester près de la mer, près des grandes route.  Dans ces conditions, il est réellement moins bruyant, et dans l'habitat littoral, passerait carrément inaperçu couvert par le bruit du vent et des vagues, et de la circulation routière, il pourrait y avoir par là "une activité économique" qui ne détruit pas les autres secteurs...

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