Cilaos, la seule commune de la Réunion dont la population diminue depuis 20 ans !
Depuis l'arrivée des premiers habitants, dans les années 1840, la population de Cilaos n'a cessé d'augmenter:1000 habitants en 1866, 2500 en 1900, 5856 en 1975 et 6115 en 1999.
Depuis
le début des années 2000 - arrivée du
futur maire sortant, une coïncidence - la population de
Cilaos ne cesse de diminuer:en 2006, la population de Cilaos
était retombée au même niveau qu'en 1968
(5856 habitants). Depuis le
début des années 2000, le cirque a perdu 968
habitants (une chute de 15% en 20 ans!)
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Et bonne lecture COMMUNIQUE de PRESSE du 29 mai 2020 Après le déconfinement, les
riverains d’Orly refusent d’être
à nouveau enfermés dans le bruit et la
pollution des avions.
Dans le contexte de la pandémie du COVID-19 et des mesures de confinement qui l’ont accompagnée, l’aéroport d’Orly a suspendu tous ses vols commerciaux depuis le 1er avril 2020. Les survols ont ainsi baissé de 94% la 2ème semaine du confinement. Dès lors, le demi-million de franciliens, qui vit sous les autoroutes aériennes urbaines d’Orly, redécouvre la vie sans avion : ne plus être réveillés tous les matins à 6h ; ne plus subir, chaque jour, le harcèlement sonore d’un avion toutes les 3 minutes jusqu’à 23h30 ; ne plus respirer les oxydes d’azote (NOx) et les Particules Ultra Fines du kérosène brûlé … Depuis la quasi fermeture de
l’aéroport, la baisse de la pollution
en ville autour d’Orly est édifiante.
Dans les villes qui subissent les pollutions des
avions, les stations de mesure BruitParif*
constatent une chute spectaculaire de la pollution
sonore de - 17 dB(A) en moyenne pour
l’indicateur Lden. Il y a ainsi 32 fois moins
de bruit en ville ! La qualité de l’air
s’est aussi largement améliorée.
Airparif** constate une baisse des émissions
d’oxydes d’azote (NOx) en Ile de France,
jusqu’à -60% une fois le confinement
mis en place totalement. Airparif précise que
« cette baisse s’explique
essentiellement par la baisse des émissions
du trafic routier de l’ordre de -70% mais
aussi de celles du trafic aérien, de
l’ordre de -50% ».
Si, bien sûr, nous souhaitons tous que la
pandémie du COVID-19 s’arrête au
plus vite, il est hors de question que
l’aéroport d’Orly,
enclavé dans un tissus urbain dense,
recommence, comme si de rien n’était,
à abimer gravement la santé et le
cadre de vie de centaines de milliers de
franciliens.
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