La Réunion... c'est.. mortel
témoignage reçu septembre 2019 +2 au tableau dans le clan des aéronefs: c'est les aéronefs qui ont gagné,!
Bonjour ,
Je suis tombé par hasard sur votre site www.cilaos-mon-amour.com ulm ou requin ,comptabilisant le nombre de crash aérien ,j’imagine que tout n’est pas notifié et rassurez vous je peux le comprendre , il y a le crash d’un piper le 8 juillet 2000 ,cirque de Mafate puisse que mes parents y ont trouvé la mort .
Cordialement Merci
de cette info. Pouvons nous vous citer dans la page? Cet
accident ne semble pas avoir laissé de trace dans les
articles en ligne, avez vous des références plus
précises et entrées (des mots clefs ou des pages
en ligne) confirmant cet évènement? bonjour
oui vous pouvez diffuser sans problème ,date de
l'accident 8 juillet 2000 ,vous trouverez le rapport sur le
site de la BEA ,j'ai pas grand chose sur le net ,à
l'époque ,cela a été diffuser à la
télé ,même sur France 2 et Normandie France 3
.
départ aérodrome de pierre fond .crash 15 mn
plus tard je crois
je vais essayer de chercher des choses sur le net ,si jamais
vous avez vous aussi des infos ,je suis preneur
cordialement
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https://www.bea.aero/docspa/2000/f-py000708/pdf/f-py000708.pdf Archive locale |
note: LE PA 28 est extrêmement bruyant. C'est même
le plus bruyant de l'île en intensité sonore
(l'autogire est un peu moins sonore, mais ça dure par contre
bien plus et c'est le rare engin qui fait encore pire). L'avion portant le matricule F-ODLS a apporté énormément de nuisances, du fait d'un moteur à ÉCHAPPEMENT LIBRE!!! |
"Depuis
2003, onze accidents ou incidents concernant la société
Félix ULM ont été notifiés au BEA.
Lors de la collision en vol entre deux ULM de cette société
le 25 avril 2013, le BEA avait alerté la DSAC sur l’absence
de réglementation concernant le transport de passagers à
titre onéreux en ULM. Depuis janvier 2012, la DSAC (Ndlr :
Directions de la Sécurité de l'Aviation civile) conduit une
réflexion sur les vols locaux avec transport de passagers à
titre onéreux en avion ou en ULM. Cette
réflexion fait suite à une série de sept accidents
survenus en 2011 (trois en avion et quatre en ULM) ayant fait deux morts
et quatre blessés graves…" source
À La Réunion, on en est aujourd'hui à 11 morts en
20 ans, dont sept sur les quatre dernières années.
En comptant ceux d'accidents d'avion
et d'hélico on est au moins à 24 morts depuis 1989, à égalité avec les
requins depuis 1972
Le pilote et la passagère d’un ULM avaient trouvé la mort dans un crash survenu dans la forêt de Bélouve, sur les hauteurs de l’Est de l’île. L’appareil appartenant à la compagnie Félix ULM avait décollé du littoral de Saint-Paul à 7H30. La liaison radio avait été perdue une vingtaine de minutes plus tard. L’alerte avait été donnée par l’époux de la passagère, tout juste rentré d’une sortie à bord d’un autre ULM.
- 10 août 2013 : deux rescapés dans le crash d’un ULM à la Glacière
Ce jour là, le pilote et sa passagère échappent au pire. Confrontés à de fortes turbulences, le pilote qui avait décollé du tarmac de Pierrefonds pour la deuxième fois de la journée a effectué un atterrissage d’urgence, au niveau de la Glacière, dans le secteur du Maïdo-Grand Bénare. L’ULM a ensuite pris feu. Mais les deux passagers s’en sortent avec une bosse et quelques ecchymoses.
Sur
les 5 dernières années 7 ULM et un avion léger se
sont écrasés à La Réunion. Point sur ces
accidents aériens dont plusieurs ont été mortels.
(entre temps 2 nouveaux crash, nous
sommes maintenant à 13 morts depuis le début de son
utilisation touristiques)
10 août 2013
http://reunion.infosreg.fr/7-crashs-dulm-repertories-en-5-ans/
En plus des ULM il y a les avions, en passant, celui
là.
Un avion de tourisme de type Cessna s'est écrasé au-dessus
du Maïdo aux alentours de 9 heures ce samedi matin 25 février 2012.
Quatre personnes se trouvaient à bord. Deux sont
blessées légèrement et les deux autres gravement.
- 15 mai 2011 : crash en bout de piste à Pierrefonds
Alain Soulas, un pilote chevronné avec plus de 800 heures de vol à son actif, s’est écrasé sur une bretelle de piste de l’aérodrome de Pierrefonds, quelques secondes après le décollage de son ULM B 612. Grièvement brûlé, il décéde des suites de ses blessures au GHSR de Terre-Sainte.
- 8 mai 2010 : deux morts à Etang-Salé
L’ULM avait décollé
de l’aéroport de Pierrefonds à Saint-Pierre. A son son
propriétaire, Patrick Iwasuila, âgé de 51 ans, et une
amie, Hélène, 43 ans. L’engin s’écrase
peu de temps après sur le terrain de parachutisme situé en
face du golf de l’Étang-Salé. Les deux personnes sont
tués sur le coup.
- Le 20 janvier 2010 : une
touriste s’en sort avec une entorse
L’accident s’est déroulé tôt le matin, sur la piste de Cambaie, à Saint-Paul. Heureusement, il n’a pas fait de victime. En bout de piste, l’engin a fait une chute de 60 mètres de hauteur. Son pilote s’en est sorti indemne. La passagère, une touriste de 37 ans, est sortie de l’hôpital dans le courant de la journée. Le pilote avait fait les vérifications un peu vite fait, omettant d’ouvrir le robinet d’essence.
- 23 février 2009 :
un pilote et son passager, portés disparus, sont retrouvés
morts après plusieurs jours de recherches, au cœur du rond du
Bras Rouge, dans le cirque de Cilaos.
2 mort
27 juillet 2007
Quatre personnes se sont tuées dans un accident d'un avion de
tourisme samedi sur l'île de La Réunion, a-t-on appris
auprès de la préfecture.
Dans le cirque de Mafate
L’avion, de type monomoteur, un Cessna 172 de l'aéro-club
Roland-Garros s'est écrasé vers 13 h locales (11h00 à
Paris), dans le cirque de
Mafate.
Selon des randonneurs qui ont donné l'alerte, l'engin a
heurté la paroi rocheuse et s'est écrasé quelques
mètres en contrebas. L'accident s'est produit à une altitude
de 2.600 mètres.
Un hélicoptère de la gendarmerie transportant un
médecin du Samu a été dépêché sur
place. Le médecin n'a pu que constater le décès des
quatre occupants de l'appareil disloqué.
- 25 juillet 2004
Un avion de type monomoteur,
un Cessna 172 de l’aéro-club Roland-Garros, avec quatre
personnes à son bord s’est écrasé samedi 21
vers 13 heures locales (11h00 à Paris), dans le cirque de Mafate.
Un
hélicoptère de la gendarmerie qui transportait un
médecin du Samu a été dépêché
sur place. Le médecin n’a pu que constater le
décès des quatre occupants de l’appareil
disloqué.
Le pilote, un
Réunionnais de 21 ans, connaissait parfaitement le site. Deux des
victimes, dont les identités n’ont pas été
communiquées, sont domiciliées à Paris.
L’enquête
a été confiée à la brigade de gendarmerie
des transports aériens. Une cellule de soutien psychologique a
été mise en place pour les proches des victimes.
Source : 20
minutes
4 morts: curieux, comme doublon (on dirait
le même texte à deux dates différentes, mais un
guide rencontré dernièrement parle bien de 8 morts de
2 crash d'avions cessna à mafate): en passant, c'était
des vols maxi-nuisance: L'APRÈS MIDI, quand il y a des
turbulence et que l'impact est grave sur la forêt
(l'après midi est le moment de silence, de retour de la
brume, ou d'un "bonus" de soleil limpide quand c'est l'hiver).
Quatre
morts dans un crash à Marla
Un
énorme bruit de tôle froissée
Enquête sur le crash de Marla
Une
activité inhabituelle pour un jeune pilote
Le
parquet hésite à ouvrir une information judiciaire
L’aéro-club
de Roland-Garros dégage sa responsabilité
- 14 mai 2005 :
une machine de la société Papangue ULM s’abîme
en mer, au large de Saint-Denis, après avoir décollé
de Gillot. Les deux occupants de l’appareil sont
récupérés sains et saufs avec l’appui de la
section aérienne de la gendarmerie et du navire de sauvetage de
l’aéroport.
Journal de l'île 28/12/2004 Crash à 2 550 m : les miraculés du Grand Bénare
Parking avion de
l’aéro-club Roland Garros hier matin vers 7 h. En
cette saison, mieux vaut se lever tôt si l’on veut
bénéficier de conditions
météorologiques acceptables lorsque l’on
décide d’aller survoler la Réunion.
Jean-Jacques Penel, 42 ans, s’installe aux commandes du Cessna 172 M F.OCUX, l’un des appareils mythiques de la flotte du club (voir par ailleurs). Inscrit à l’aéro-club Roland Garros en 2001, Jean-Jacques Penel a obtenu son brevet de pilote privé en 2003 et totalise une centaine d’heures de vol. Régulièrement, il vole sur l’un ou l’autre des avions du club. A ses côtés prend place Justine Barba. Avec ses deux enfants, Steven, 20 ans, et Nelly, 26 ans, en vacances à la Réunion et assis à l’arrière, elle s’offre un survol de l’île. Le F.OCUX décolle face à l’est à 7 h 15. Les conditions météorologiques ne sont pas idéales. Mais, si les sommets commencent à être accrochés par les nuages, sur la côte il fait beau. Le Cessna remonte la côte vers l’ouest puis s’enfonce vraisemblablement dans le cirque de Mafate. Jean-Jacques Penel a le projet de basculer dans Cilaos en passant le col du Taïbit. Mais ce dernier est noyé dans les nuages. Le pilote décide alors de contourner l’obstacle en passant entre le Grand Bénare et le Maïdo. L’Uniform X-Ray franchit la lisière du rempart et se retrouve au dessus de l’immense plateau qui descend en pente douce du Grand Bénare vers le Maïdo en passant par la Glacière. Que s’est-il alors passé ? Le Cessna encore très engagé au dessus du plateau évolue parallèlement au bord du rempart dominant Cilaos. Soudain, le monomoteur est pris dans un rabattant. La puissance du moteur de 150 cv se révèle insuffisante pour maintenir l’altitude. L’Uniform X-Ray s’enfonce à plat inexorablement et touche le sol brutalement à 7 h 30, une quinzaine de minutes seulement après son décollage de Gillot, à 2 550 m d’altitude. Le choc est certes violent mais l’appareil est relativement préservé. Les ailes demeurent en place et le fuselage est intact. Ceux qui connaissent les étendues caillouteuses du Grand Bénare mesureront la chance des occupants du Cessna. En effet, ils sont tous vivants. Jean-Jacques Penel souffre de contusions et de coupures provoquées par le pare-brise qui a volé en éclats. Sa passagère assise à ses côtés a une fracture de la mâchoire, se plaint également de contusions et saigne. Sa fille Nelly est atteinte au poignet et à la jambe et saigne à l’aine gauche. Steven souffre de contusions et de coupures. Avec son portable, Jean-Jacques Penel donne l’alerte. “Il a appelé l’aéro-club pour nous dire ce qui s’était passé, indique M. Ponamalé, président du club. Il nous a demandé si les secours étaient en route”. Des avions et des hélicoptères en vol au dessus de l’île ont également alerté la tour de contrôle de Gillot et les secours s’organisent. Alertée à 7 h 40, L’Alouette III de la gendarmerie décolle de la base aérienne 181 avec une équipe légère du Peloton de gendarmerie de haute montagne, deux secouristes et un médecin du Samu. Les conditions météorologiques continuent de se dégrader sur le massif du Grand Bénare. Les deux blessés légers, le pilote et le fils de la passagère, sont évacués sur le CHD de Bellepierre. L’Alouette III revient ensuite chercher la fille puis la mère. A 9 h 50, le sauvetage est terminé. Déposés sur place, des enquêteurs de la brigade de gendarmerie des transports aériens ont entamé dès hier matin leurs investigations. A l’aéro-club Roland-Garros, les manuels techniques moteur et cellule du F.OCUX ont été récupérés. Rien ne permet d’évoquer pour l’instant une éventuelle défaillance technique. L’aéro-club Roland Garros possède une unité d’atelier agréé et l’évolution et le renforcement récent de la réglementation font qu’un atelier de ce type est la réplique à l’échelle réduite de celui d’une compagnie aérienne. L’enquête devra déterminer les causes de l’accident. A ce stade, il serait tout à fait déraisonnable de trancher. Le col du Taïbit par lequel Jean-Jacques Penel espérait passer se trouve à 2 081 m d’altitude. Le Grand Bénare culmine à 2 898 m. Pour basculer de Mafate dans Cilaos, le F.OCUX ne pouvait faire autrement que de prendre de l’altitude afin de franchir la lisière du rempart. Selon les premières déclarations du pilote, il s’est retrouvé désarmé lorsque le Cessna a été piégé dans un rabattant à une altitude trop faible pour espérer éviter le contact avec le sol. |
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- 18 avril 1994 :
un pilote s’écrase sur le pont de la RD6 après avoir
percuté une ligne moyenne tension au-dessus de la ravine de
Trois-Bassins. Le pilote est grièvement blessé tandis que sa
passagère est tuée.
1 mort
- 5 avril 1992 :
crash mortel sur la nouvelle piste de Champ-Borne à
Saint-André.
1 mort (ou plus)
- 26 février 1989 :
un pilote trouve la mort lors de son atterrissage à Cambaie.
1 mort
Si l'Accident de Grand-Bassin, survenu ce matin, 31/05/2010 n'a pas eu de conséquences dramatiques, en revanche, le crash près du col des Boeufs (Mafate), en début d'après-midi, a fait deux morts: le pilote André Bègue et son passager, un jeune homme de 16 ans.
Un crash d'hélicoptère s'est produit aujourd'hui en début d'après-midi 31/05/2010, vers 14 heures, dans le cirque de mafate. L'accident s'est produit entre le col des Bœufs et la Nouvelle, dans le secteur de la Plaine des Tamarins,
D'importants secours ont été dépêchés sur les lieux, notamment les éléments du Peloton de GENDARMERIE de haute montagne et des militaires de la brigade de Hell-Bourg, des membres de la Sécurité civile et du Samu. L'hélicoptère de l'armée de l'air et celui de la gendarmerie se sont également rendus sur les lieux.
Le crash a fait deux victimes: André Bègue, le pilote bien connu à Mafate, et son passager, Lucas Damour, un jeune homme de 16 ans originaire de Grand-Ilet (Salazie).
L'accident aurait été provoqué par une brusque rafale de vent qui aurait rabattu l'appareil contre la paroi.
Par ailleurs, un
hélicoptère de type Robinson a percuté un arbre peu
après son décollage à Grand -Bassin (Le Tampon).
L'accident s'est produit ce matin. Il n'a fait que des blessés
légèrement touchés.
Le 26 décembre 2000, un pilote d’un hélicoptère de type Robinson avait raté son atterrissage sur la plate-forme du col des Boeufs. L’appareil avait dévalé la pente et s’était immobilisé quarante mètres plus bas. Le pilote avait été grièvement blessé, sa passagère était décédée quelques heures plus tard.
Selon les documents renseignés par les passagers, le vol avait été déclaré comme vol d'instruction alors que l'aéronef n'était pas équipé de doubles commandes et que le pilote n'était pas instructeur. L'enquête a montré que ce procédé était courant dans la société. Il permettait de s'affranchir des contraintes réglementaires liées aux vols touristiques s'éloignant de plus de 40 km de la base de départ et nécessitant un CTA. En contournant la réglementation, la société pouvait ainsi proposer à moindre coût le survol de sites touristiques emblématiques de l'île, tels que le piton de la Fournaise."