Comparons sur des échelles de grandeur relatives en longueur.
Part du tourisme aérien / Nb/clients/an par rapport Nb touristes non insulaires/an
----------|-/--------|----------|----------|----------|----------|----------|----------|----------|----------| À peine + que 10% de 400.000 environ... 10 millions d'euros environ, MOINS que 15 millions d'euros/an
(15 millions d'euros = 50.000 clients dépensant 300 euros, en réalité plutôt 40.000 dépensent moins de 250 euros)
Note: la part des avions, des ULM est négligeable... pour le tiers des nuisances sonores du tourisme aérien!!!
UNE MINORITÉ!!!
Le tourisme aérien représente en nombre de clients par an, 10% du nombre de visiteurs NON insulaires...
Part du tourisme aérien / Nb/clients/an par rapport Nb touristes locaux compris
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ENCORE PLUS UNE MINORITÉ!!! C'est "incontournable" mais pourtant 9
personnes sur 10 ne le font pas... parmis des touristes qu'on dit au
total pas assez nombreux.
En réalité c'est MOINS, beaucoup de touristes LOCAUX font plusieurs
fois un survol "prenant" des places d'une minorité parmi une minorité.
Part des dépenses dans le tourisme aérien / dépenses totale autre prestation touristique
----/-----|----------|----------|----------|----------|----------|----------|----------|----------|----------|314,7 M€ 4.7% dans l'hypothèse 15 millions d'euros 3.14% dans l'hypthèse 10 millions d'euros...
C'EST PEU!!! par rapport au gâchis de
l'ambiance dans ce qui reste "de bon" dans l'île.... à l'heure de
l'attrait pour l'écotourisme!
Le tourisme...À La Réunion... selon la cour des comptes, contribue plus modérément à l’activité économique (2,6 % du PIB en 2012).
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Trop petit pour être ici représenté: le tourisme aérien qui ferait moins de 5% de ce bout de trait --/
C'EST PEU de très peu.. Si on
partage le gain financier de cette activité à chaque habitant de
l'île.. on aurait bien du mal à se payer une troisème dodo avec ce
bénéfice... PAR AN!
UNE BROUTILLE!!!
Alors
pour ceux qui disent que c'est "CELA qui fait "vivre l'île", que cela
est populaire et incontournable, et que c'est une nécéssité économique,
on repassera!!!
- Les hélicoptères sont certes indispensables à certaines activités qui "font
vivre l'île", mais il s'agit là d'une logistique associé à un
trafic moindre et local.
C'est bien le surnombre de survols liés au tourisme le problème, et
cela rapporte finalement peu, mais "on" ne veut pas renoncer à la
possibilité de faire le survol de l'île, tous espèrent le faire un jour... si ça devient populaire.
(si tout le monde le fait, il faut près de 500 survols chaque matin). quelles solutions?
Rapport cour des comptes
Le tourisme représente 7 % du produit intérieur brut (PIB) de la
Guadeloupe (2012), 9 % de celui de la Martinique (2011) et 7,7 % (2011)
de celui de la Polynésie française. À La Réunion, il contribue plus modérément à l’activité économique (2,6 % du PIB en 2012).
Les recettes du secteur sont estimées à 418,6 M€ pour la Guadeloupe et à 309 M€ pour la Martinique en 2011. À La Réunion, ces recettes (314,7 M€) représentent la première source d’exportation de l’île.
