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dossier-helico
problématique hélico en "bref"
Les cruelles lois de la physique pour une humanité archaïque se trainant encore au pétrole et au nucléaire sale...
Ça serait comment sinon?
Hélas et encore hélas... les aéronefs actuels font du bruit pour des
raisons de
lois de la physique... (et ils ne peuvent pas aller très vite à cause
des ondes de choc et de la chaleur en arrière du frond d'onde de choc.)
les aérodynes MHD (en se basant sur les lectures de Jean
Pierre Petit, qui cherche trouve: il est tentant d'y croire) ne sont pas encore là: les
supraconducteurs à
température ambiante, les générateurs à fuite d'antimatière délivrant
la puissance d'une centrale nucléaire, pour un engin de 6 places, on ne
sait pas faire, pas encore et c'est pas pour demain, on se traine
encore sur terre avec même pas mieux que ça
pour en décoller (ça fait du bruit, par ce que ça fait... des
turbulences, c'est juste ça le problème).
Remarque... une soucoupe volante (aérodyne en forme d'assiette) prend appui sur
l'air... mais dans l'espace, elle voyage comment?
Et bien ça ne marche plus! (cet imaginaire, ou réalité, on ne sait pas proviennent du dossier UMMO)
Mais ce n'est pas un problème car il n'y a pas besoin de moteur, pour
se déplacer dans l'espace:
on change simplement de surface d'espace, pour passer dans l'univers
gémellaire en faisant "spout-disparition" (booum! si c'est près du sol,
l'air ambiant implosant sur du vide)
Ceci provient du dossier Ummo plus des recherches en topologie-cosmologie.
Pour cela, il faut faire une décharche d'énergie sufisemment forte
(avec un système similaire au laser, à pompage énergétique pour
ensuite laser, mais avec les
noyaux des atomes des gazs entourant la soucoupe, pas seulement les
électrons) dans une géométrie de sphère (au sens géométrique c'est bien
une sphère): En se plaçant à l'intérieur de cette sphère siège d'une
intense décharge énergétique qui permet alors une
intervertion d'univers: les volumes inscrits dans la sphère
s'interchange.
Dans ce second univers (la seule interraction avec le notre, c'est
la gravitation, inversée (une masse de l'autre univers repousse au lieu
d'attirer nos masse à nous, dans l'autre univers c'est également de
l'antimatière), on est alors, dans le vide très loin des amas de gaz
(c'est de l'antimatière, de proto étoiles, masse de gaz pas encore
condensées en étoiles) qui structurent par leur gravitation (inversée)
la structure "en bulle de savon" de notre univers. Notez que ce qui est
l'énergie noire et la matière sombre ne sont chez nous que les effets
antigravitionnels de ces masses de l'univers gémellaire.
On se trouve automatiquement lancé à une très
grande vitesse dans cet autre univers, selon les lois de la relativité (contraction de
Lorentz), car cet univers n'a pas la même échelle de taille, et on se
déplace dans des coordonnées différentes, selon les plissements de
cette surface par rapport à l'autre, certains raccourcis donne de
nombreuses fois la vitesse de la lumière par rapport à l'autre coté.
Le tout c'est d'orienter les spins des atomes dans le bon sens pour
partir dans une bonne direction (en tournant comme une toupie à
l'intérieur d'une coque emmettant un gaz collant à la paroit et
fortement chargé d'électricité statique, qui circonscrit la limite
d'espace interveti d'ailleurs), sinon, tout ce que ça fait c'est de
lancer en tous sens les atomes à près de la vitesse de la lumière, ce
qui revient à chauffer immédiatement de quelques millions de degrés et
d'exploser comme une bombe atomique, sans faire de dégât car dans
l'autre univers, mais là on n'en revient pas..
Notez bien: le transfert spatial n'est pas discret, si on part en effet
depuis un endroit trop près du sol en air dense, le vide qui remplace
l'espace qui a été interverti au départ de la soucoupe provoque une
implosion de l'air qui est autour: ça fait un gros boum.
il faudrait peut être y penser un peu, la terre est trop peuplée, ça va
chauffer, faut changer de planète, la terre est usée, on jette... mais si on est coincé là..
Mais on n'y pense même pas: les "briques" de ce qui pourrait faire
accéder à cette technologie, on en fait plutôt des armes nouvelles, des
bombes, pour se taper dessus ou se faire peur, et une humanité
gouvernée par la peur ne dispose pas d'une concience globalement
négatropique: tout se dérègle vers une dégradation risquant de se
terminer en boum final.