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Note: ce projet n'a eu absolument aucun écho: personne" n'en veut, car cela ferait une concurence directe aux visites aériennes par hélico, ULM et avions qui permettent d'aller physiquement sur les lieux, et encore "rêvées" quelque soit les dégâts collatéraux, qui portent l'espoir d'une pérénité avec une activité encore plus grande de l'aéroport de Pierrefonds associés à des circuit aériens allant d'hélistation en hélistation d'étape "pour visiter l'île plus aisément, plus intensément"..
Enfin, les gens veulent une expérience concrète, réellement pouvoir visiter les lieux du ciel et non se contenter de le regarder "aux jumelles sans y aller", et que cela soit donné à tous, le problème des nuisances sera bientôt résolu grace à l'hélicoptère électrique qui arrivera bien un jour...

Mars 2015

Pour un grand Musée-Cinéma-Drone à CILAOS...

CINÉMATHÈQUE + MUSÉE À SENSATION


La visite aérienne virtuelle serait accompagné d'une observation directe du site, sur place, où l'on peut faire bien plus que passer des films et bien plus que de regarder à l'oeil nu!
Une installation dédié peut permettre bien mieux qu'une longue vue ou paire de jumelles.

Cinémathèque: un drone survole un secteur de temps en temps à chaque mise à jour de la vidéothèque pour fournir des images permettant de connaître l'aspect des lieux: ça sera différent des vues d'hélicoptère: exploration par zone, vol plus près, plus détaillé.
La vue globale peut être obtenue à distance (depuis les environs de CILAOS-ville) avec des moyens de vision optique augmentée (jumelles, mais pas seulement: moins banal: des téléscopes avec amplificateurs de relief, sans et avec grossissement).

 On n'a certes pas l'expérience d'un vol réel, mais autre chose, et on a des compensations majeures: Ce n'est plus une prestation possible pour une minorité seulement: l'accès est possible pour tous. C'est aussi une activité qui ne trouble pas la tranquillité sur les lieux, on voit plus de choses, plus longtemps, de plus près, des perspectives inacessibles même aux hélicoptères et ça ferait une attraction cilaosienne, sur place.

- Moins cher.

- Ne fait pas chier le monde en dessous.

- Pollue moins, dépense moins d'énergie, c'est en accord avec la volonté de réduire l'impact climatique et la transition énergétique.

- Peut être servi à des millions de touristes sans impacter les lieux ainsi visités.

- Sera une raison de se rendre dans les Hauts et impulsera une activité économique locale.

- Est une activité qui ne dépend pas totalement de la météo. Dans le cas de Cilaos, une pluie précoce en après-midi pousserait même les visiteurs à visiter la partie musée-cinéma de cette installation au lieu de quitter immédiatement le cirque.

Les acteurs du tourisme-aérien ne voient pas d'un bon oeil cette proposition concurente. Pourtant, si on veut un équilibre, il serait temps de réorganiser les activités aériennes en les rendant au moins complémentaires, en offrant des services plus pertinents avec des prestataires qui ne cassent plus les prix en se marchant sur leurs platebandes, ce qui au final ferait moins de nuisances.

Une telle installation pourrait héberger diverses attractions annexes (bulles pour visionner des panoramiques 360, visionnage de drone FPV-racer, simulateur de vol, cartes en relief avec pupitre de sélection de vidéos ou photo 360, images détaillées de zones agricoles, révélation par l'image des éléments d'architecture, exposition d'artisanat local et de paysages associés à diverses pratiques agricoles avec explications, exposition scientifique sur la faune, oiseaux, flore, et installation de caméras thermiques pour observer les chauve-souris et les pétrels).

Ce projet pourrait apporter la possibilité d'explorer virtuellement, ou de loin avec les moyens d'amplification optique, toute zones où l'impact du tourisme-aérien devient trop important des lors que des touristes visitent, cela pourrait être complémentaire à un tourisme-aérien non pas interdit mais réorganisé, dans le but de découpler la nuisance des survols d'une demande touristique croissante.


Attention: les drônes seront à usage professionnel, doivent rester d'une utilisation occasionnelle et seulement pour rapporter des images qui seront elles utilisées à volonté. Les drones de loisir mis aux mains de n'importe qui, en particulier des touristes, utilisés près de belvédères jouxtant des forêts primaires, ont vite fait de se multiplier et ont une action très intrusive. Dans la répétition, les survols font très vite perdre la quiétude des lieux et encore pire que les aéronefs conventionnels à cause de leur proximité, et ces dérangements sont cumulés à ceux déjà causés par le tourisme aérien.  Tout cela doit absolument être cadré, organisé et limité au tournage d'images et opérations scientifiques. Le drone FPV-racer doit être utilisé en zone humanisée (sur un stade ou hors zone forêt primaire).


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