SI ON A BESOIN DE TRANQUILITÉ, DE CALME, D'ÉCOUTER LA NATURE... dérangement produits en tout lieux calme par les aéronefs. | ||||
NIVEAU 1 < 8 survols très espacés |
NIVEAU 2 5 à 15 survols "organisés" (groupés pour réduire le temps d'occupation), en quelques fois pas longtemps, ensuite pas de sensations de répétition de passages au delà de 9h du matin |
NIVEAU 3 moins de 15 survols "un à un" nuisance étalée sur 2h maximum |
NIVEAU 4 entre 2 et 4h NIVEAU 4 plus de 15 survols"un à un" ou pas assez groupés. Nuisance occupant plus de 2h. | NIVEAU 5: absence de quiétude matin et après midi ou après midi seulement quand rare éclaircie, journée foutue, évènement relativement rare d'une après midi dégagée foutu. |
Calme sauf pour les puristes, |
bruit présent mais encore gérable, |
bruit compromettant toute forme
de tourisme comptant sur le calme dans la nature, et obligeant déjà à
se protéger un moment (fermer les fenêtres ou faire hurler sa radio: gestion
possible en renonçant au début de matinée, |
Invasion acoustique insoutenable à moins
d'être sourd, tourisme de qualité impossible toute la matinée, invasion
temporelle ne laissant plus le temps de commencer une promenade avant
midi. Un exemple a été choisi: 50 minutes d'enfer acoustique 32 survols en 3h. | l'après midi est le dernier moment pour profiter Si ce moment là est perturbé, cela oblige à s'exposer à la nuisance, ou rester enfermer toute la journée. L'impact sur les oiseaux est immense: ils stoppent leur chant jusqu'au soir. Le fait que cela arrive quelque fois par mois l'après midi signifie déjà la perte de quiétude: on ne peut plus compter dessus |
On ne le remarque pas sauf en étant vigilant |
On le remarque, mais pas au point de se lever pour aller fermer la fenre |
On doit fermer sa fenêtre, et attendre un moment... la matinée n'est pas entièrement foutue. |
on doit attendre, longtemps, renoncer à toute la matinée au dehors, pour avoir la paix. | il devient impossible de récupérer du stress, de se dépenser dehors, de travailler en paix. |