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SOMATISATION: une nuisance favorise la maladie... sans qu'on perçoive un lien évident et direct.

Ce qui est détourné de la pensée est en effet géré par le système neuro-végétatif, principe de base de la somatisation
: une "nuisance installée", ce n'est jamais anodin, ce n'est pas une gêne passagère et occasionelle et quand c'est installé chez soi et que cela dure et se cumule C'EST DANGEREUX. Ce qui est le plus dangereux n'est même pas la nuisance elle même... c'est de refuser d'en tenir compte alors qu'elle est là sous forme de souffrance subie mais non avouée...

La maladie ne se déclenche pas forcément, c'est jamais si évident: ça dépend d'un réservoir de ressources vitales qui se remplit ou se vide suivant tout un équilibre dans une construction de vie qui se fait sur plus grand qu'une vie (des générations)...

 Par contre, ça vide toujours plus ou moins le réservoir de ressources, et pour les personnes qui étaient un peu fragiles, ça dépasse le seuil, dans la vie de la personne ou dans sa descendance... C'est pour cette raison que bien souvent, l'atteinte à la santé paraît insignifiante alors même qu'on dilapide pourtant une part de son énergie vide. Généralement, ça se paie plus tard!

Les plus fortes nuisances, chez les humains, ne sont même pas due à l'environnement physique, mais à l'affectif, et on peut largement expérimenter le fait que des secrets de familles ou des attirances affectives réprimés mènent à la maladie la personne ou sa descendance...


La réalité est rendue complexe par tout un tas d'interraction subtiles liées à tout l'affectif dans ce qui défini l'histoire d'une personne, mais ce bon vivre ensemble apparent où l'on se supporte avec autant de sentiment généralisés de ne pas pouvoir partager, de dire, de peur de gêner, de peur de conflit doppe peut être bien la propension locale au diabète: la constance c'est d'être "coincé et impuissant", "emprisonné", dans une situation dont on ne peut pas s'extraire autrement qu'en agissant ou en fuyant à moins d'une solide pratique spirituelle qui n'est pas si aisée qu'on voudrait bien le croire pour faire simple.







texte écrit par Jean Thevenet,